Tiré de Ouest-France, édition du soir.
Cette fameuse baliste, c’est ce que nous appelions à la Plage la « Hija Puta » et on la péchait non pas au bord de l’eau mais à la mythique « Secca la Hija Puta » (80m de fond) repérée en alignant le marabout de Sidi Kacem avec la grosse « mata » de lentisque de Punta Morena. A l’intersection de lignes de la pointe du Gabo Gordo avec la plage de Camerata. Le GPS « MAKACH » de chez Navarico ne prend pas sur la mer.
Put.. quand il fallait tirer l’ancre, si elle s’étai « enroquée »….Je maudissais toutes les Hijas Putas qui souvent, gràce à leurs dents, coupaient le crin (nylon en français). Voire les hameçons. Même pour la cuisiner il fallait tirer la peau façon lapin, mais après on était récompensé: c’était délicieux!
« Chaleureuses » amitiés à vous.
René