Hello!Bonjour! Prêts à me suivre dans mes pérégrinations à travers notre village? Bien! Alors, préparez-vous! Encore une fois, je vous invite à faire un saut dans le passé, au temps de notre adolescence. Si l’aventure vous tente, suivez-moi!
L’après midi est bien avancé. Le village commence à sortir de sa torpeur. Tient! Les cloches de l’église Saint Michel sonnent bien joyeusement! Sans doute un couple convole en justes noces. Nous
légende: 1 l’église- 2 la mairie- 3 la place- 4 la quincaillerie- 5 la Comp.Algerienne- 6 Cour commune NAVARRO…STEPHEN- 7 Maison BOUR- 8 Mais. LAFORGUE- 9 Atelier FILIPI- 20 Rue Eugène ETIENNE- 10 Maison BENSOUSSAN- 11 Ébénisterie HERNANDEZ- 12 Maison AMAT- 13 Emplac. Villa MACIA- 14 Atelier DIAZ.
En face, vous avez la quincaillerie TISSINIÉ , à côté, l’entrée de la maison des grands parents BOUR, et le portail suivant, la réserve du matériel de la quincaillerie. Sur ce trottoir -ci, voici la grande fenêtre de la Compagnie Algérienne, et le fameux salon de coiffure qui a suscité pas mal de commentaires, orchestrés par l’ami René. Ce salon fut, dans les années 40 , tenu par le père de Daniel, Thomas ARACI. En 1949, Primitivo prit la relève. Ne me demandez pas l’origine de ce prénom. Connaissant l’esprit taquin des Saladéens, je serais en peine de vous répondre, et je doute que quelqu’un puisse satisfaire votre curiosité. Bref! Primitivo avait un employé: Pierrot GRANADOS, ami de Rémi BELTRAN, et de René REQUENA. Pierrot était marié à notre sympathique couturière Jeanine TORENTÉ, qui habitait en haut de la rue Henri DEGOURNAY, après la maison de Pau France, Etienne et Jeanne ROSELLO. Juste avant celle de Céline, Gaby, Lucie, Paulette, et Jean CARENO.
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