Après la grande affluence lors du 25ème anniversaire, le Bureau, réuni en mai, se demande si pour cette nouvelle rencontre 2007, nous serons aussi nombreux.
Comme toujours, tous les pronostics les plus optimistes sont dépassés.
Jugez-en :
402 entrées le matin
(dont 28 enfants de moins de 16 ans)
16 entrées en soirée
418 invités au total.
16 poêles de gaspacho
100 kg de moules
Dès 10 heures du matin, après l’accueil de Daniel ARACI,
les visiteurs retrouvent des connaissances, parlent de leur vie quotidienne, de leurs souvenirs (encore, et encore), montrent la photo du petit dernier qui fait son service dans le nord(…à Valence !), racontent les dernières anecdotes -bien sûr inédites- du village, avancent des pronostics fermes sur les élections législatives, admirent la décoration de la salle dirigée par Jean-Paul VIDAL,
apprécient l’exposition photos de Jadette SALVA…
Ils » surveillent « , dans la cour, le pénible mais joyeux travail des » gaspachéros » sous la houlette d’Yves ANDREO et de Jaime SALVA,
prennent l’incontournable apéritif au bar d’Antoine VIDAL et d’Etienne ROSSELLO.
tout en dégustant les moules préparées par Robert MUNOS et son épouse.
Puis, le moment tant attendu de la dégustation des gaspachos est salué par un tonnerre d’applaudissements. Comme d’habitude, la distribution, organisée par André BERMUDES, est exécutée par des volontaires accortes et plein d’attention.
Les invités apprécient grandement ce plat devenu symbole de nos rencontres.
Aux dires des convives, ce gaspacho 2007 est succulent. Confidence pour confidence : tous les ans, notre gaspacho est succulent.
A la fin du repas, les participants s’égayent dans la salle pour savourer encore ce moment de rencontre avant la tombola. Tombola richement dotée d’un téléviseur écran plat (gagné par le couple GRAS-SALVA), d’un lecteur de DVD, d’un appareil photo numérique, …
Dès 17 heures, l’orchestre installé, le bal commence. La piste est envahie dès les premières notes.
Jusque tard dans la nuit, les danseurs évoluent devant un parterre de spectateurs attentifs. Au cours de cette soirée, les invités ont la possibilité de se restaurer grâce aux sandwiches et aux gâteaux préparés par Henriette ARACI et son équipe.
Aux derniers flonflons de la nuit, la foule se disperse, l’orchestre remise ses instruments et la fine équipe du Bureau emploie la dernière heure à ranger la salle.
C’est le moment pathétique : les effluves de la fête ne se sont pas encore évaporés, les derniers danseurs quittent lentement la salle, la fatigue se fait sentir dans l’équipe du Bureau,…
Seul reste le sentiment d’avoir vécu un rituel gravé dans nos mémoires.
Pentecôte 2007 est mort, vive Pentecôte 2008 ! !
J’ai regardé avec plaisir « Pentecôte 2007 » Ah! L’heureux temps!!!
j’ai apprécié les commentaires, je tiens quand même à signaler une erreur. Je n’ai rien contre Jean Paul il est notre ami , nous l’aimons beaucoup, mais la décoration de la salle est ,et a toujours été l’ oeuvre d’ Henriette Araci. Rendons à César ce qui appartient à César!!!!
Sans rancune Jean Paul, je t’embrasse.