Bien sûr, les critériums d’après le Tour de France ont jalonné toute notre enfance.
Bien sûr, nous étions « accros » des Bobet, Robic et autres Hassenforder.
Bien sûr, toute l’actualité cycliste faisait partie intégrante de votre vie.
Et donc, ces quelques documents, collationnés par un honorable correspondant (probablement passionné de sport cycliste) n’auront pour objet que de ramener à la surface ce qui aurait tendance à se noyer…
Notons que nous avions nos sportifs cyclistes à Rio : BOUDISSA, AntoineVIDAL,…
Messaoud BENYOUCEF nous rappelle par cette photo que nous avions à Rio, une glorieuse équipe de foot bizarrement désignée : SOS.
Voici son message et le document qui l’accompagne.
Salut Jo.
Pour l’heure, je t’envoie, ci-joint, deux prises de vue de la redoutable formation qui posait pour la postérité avant d’affronter le « Real Clandestino » (équipe de football formée par les réfugiés républicains espagnols d’Oran) au stade municipal de Rio. C’était en 1965. (Vu la moyenne d’âge de l’équipe adverse, notre triomphe était aussi assuré que sans gloire.)
Jean-Luc GARAIT,fils de René GARAIT et d’Arlette MACIA, Fanny GOUAULT et Joseph GOUAULT, petite fille et fils de LEON GOUAULT et SYLVIANE POVEDA pratiquent le TIR au Pistolet.FANNY junior championne départementale combiné leger : 1ère. pistolet standard : 2ème.JOSEPH senior champion départemental gros calibre pc : 1er. pistolet standard : 2ème. combiné leger : 2ème.JOSEPH (2ème à gauche) sélectionné pour le CHAMPIONNAT de FRANCE : ( tir aux armes réglementaires à la vitesse militaire et au pistolet revolver)FANNY, qualifiée au CHAMPIONNAT de FRANCE : ( tir au pistolet 25m ).
Il y a quelque temps de cela, un internaute nous demandait des renseignements concernant l’épave du bateau qui repose au large des côtes de PORTIJOL.
Voici les informationse que nous avons pu recueillir.
Ci-dessous, une carte simplifiée montrant les positions de l’épave.
L’épave qui se trouve au large de CHAPA LA SAL et de PORTIJOL est celle d’un landing-ship.(*)
En 1954, l’étrave de ce bateau était encore visible. Elle émergeait de la surface de 2 à 3m. Ce navire venu couler à cet endroit était planté à la verticale sur le fond.
A-t-il été victime du débarquement américain de 1942 à BOU ZADJAR ou torpillé par un sous-marin. Peut-être, revenant de BENI SAF chargé de minerai de fer a-t-il sombré par mauvais temps ? Nous n’avons aucune information sur l’origine de cet événement.
La mer aidant, cette épave s’enlisait lentement. Dans les années 60-61, l’épave avait complètement disparu de la surface de l’eau.
Cependant, ayant pris des repères, Yvon LOZANO, lors de ses sorties en mer, pouvait l’apercevoir par mer calme (par » mar chafa », comme disait Miguel le pêcheur de la TURGOT PLAGE). On la distinguait par 3 ou 4 m de fond.
Photo prise par Y. LOZANO alors que l’épave était à peine recouverte. Yvon a le pied sur la coque du landing-ship afin d’empêcher les bateaux de se cogner.
(*)Un Landing ship medium est un bâtiment de débarquement pouvant décharger directement sur les plages des véhicules lourds. Il se classe entre les LCI (Landing Craft Infantry) et les LST (Landing Ship Tank).
Conçus durant la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis où ils seront construits à 558 exemplaires entre 1944 et 1945, ils sont nommés dans la Marine nationale française comme bâtiment de débarquement de chars.
Leur longueur est inférieure à 100 mètres et leur masse est d’environ 1000 tonnes.
(archive WIKIPEDIA)