Mais pas n’importe lequel, celui du cimetière de RIO SALADO.
La demande de construction du cimetière date de 1859. Le 6 février 1898, le conseil municipal de la commune de RIO SALADO se réunit dans la salle de la mairie en présence du maire Henri LAGNEAU. objet de la déliberation : construction du mur du cimetière.
Le 7 février 1898, le préfet du département d’Oran leur faisait savoir qu’ il n’était pas possible d’accorder à la commune de RIO SALADO la subvention qu’elle avait sollicitée en vue de l’exécution des travaux de surelévation du mur du cimetière.
En 2009, le mur que nos vaillants ancêtres avaient construit, s’écroula. Michelle CHORRO, présente à RIO à ce moment là, put le confirmer : la mairie D’EL MELAH ( ex RIO SALADO) le remit en état.
2014 : le mur ne résista pas aux agressions du temps . Il s’écroula à nouveau, laissant notre pauvre cimetière ouvert à tous vents.
2017 : le C.S.C.O ( Collectif Sauvegarde des Cimetières d’Oranie) est intervenu et notre mur clôture à nouveau ce petit bout de territoire français où reposent nos ancêtres.
Espérons que l’ histoire de ce mur s’ arrêtera là.
bonjour,
Pourrait on voir le plan de plus près,mes cousines et moi même ,aimerions voir la rue francisco tirado ,on voit le rue en tout petit sur le plan .Merci.
Je vais tâcher d’agrandir le détail demandé sans vraiment être sûr de vous satisfaire. Je vais de ce pas vous envoyer par mail le résultat.
J’espère que cela satisfera votre curiosité.
Peut-être Jadette possède-t-elle un plan plus précis?
Si c’est le cas, nul doute qu’elle vous contactera.
Merci encore pour cette visite de notre site.
Merci de votre aide Jo.Ce qu’il m’interresserais de savoir c’est comment l’on attribué le nom d’une rue a Rio Salado a l’époque et comment mon arrière arrière grand père a eu cet honneur .
Dans la Rubrique « QUI POURRAIT ME DIRE »
A quelle date et comment la population et la municipalité du village ont accueilli
L’EAU DE BENI BADEL
J’en ai quelques souvenirs assez flous que je ne livrerai pas dans l’immédiat de crainte que Jadette »dégaine » de ses archives des preuves écrites qui me feraient penser que je perds la mémoire
Je vous rappelle que l’usine qui fabriquait les tuyaux (avec du sable de la plage) était à Laferrière
René Cardona