Meilleurs Voeux à tous
Quand j’étais petit à Rio on disait Bonne Année Bonne Santé et la paille au C.. pour toute l’année…
Je suis parti quand j’avais moins de 10 ans.
Jean Paul Quiles
Les années passent, les souvenirs restent …
Meilleurs Voeux à tous
Quand j’étais petit à Rio on disait Bonne Année Bonne Santé et la paille au C.. pour toute l’année…
Je suis parti quand j’avais moins de 10 ans.
Jean Paul Quiles
Bonne et Belle année aux amis Saladéens.
Osons avancer en 2021, sans mélancolie.
N’ayons pas peur, gardons ces chaleureux liens.
Nous nous retrouverons bientôt ensemble, rien n’est fini.
Et là, du bonheur, les retrouvailles, et la joie enfin.
Avec cette très longue et pénible coupure événementielle,
Nous avons tissé de beaux et fraternels échanges,
Ne voulant pas perdre cette amitié sincère, bien réelle,
Entretenue durant ces années, précieuses que l’on engrange,
Et alors, libres de contraintes, nous referons notre fiesta encore plus belles.
Henriette. 2021
Merci à Jadette et René pour leur animation toujours très active sur le site, et au web master qui le fait vivre.
Pourquoi par? Construisons cette ode dès aujourd’hui!
Bonne Année ,Bonne Santé avec plein d’Amour et de Bonheur à toutes les communautés du Triangle d’ Er-Rahel, Turgot, Rio Salado et aussi à tous les bénévoles qui animent l’Amicale du Rio Salado depuis des décennies. Ayons également une grande pensée pour ceux qui nous ont quittés.
MEILLEURS VOEUX 2021.


Calme et sérénité pour terminer l’année et attaquer 2021.

Coucher de soleil le 24 décembre (Archive personnelle R. Cardona).
C’est une année difficile qui se termine. Nous abordons 2021 dans l’incertitude des crises sanitaires, économiques et sociales qui perdurent. Gardons espoir pour retrouver rapidement le calme et la sérénité .
Meilleurs vœux depuis Abidjan à toute l’ Amicale
René & Denise

Cette chanson prend toute sa place afin de nous permettre de faire le saut de fin d’année… Notre Jukebox pourrait le faire écouter en boucle pour nous redonner ce courage tant remarqué en ce début d’année 2020.
Bonjour.
Cette fois ci, ce n’est pas au Village que je vous emmène mais dans mon pays « d’adoption ».
Je vais vous relater une histoire qui a alimenté voici quelques semaines (mois ?) l’actualité quotidienne en Côte d’Ivoire (heureusement, il n’y a pas que la Covid ou les élections).
Comme vous le savez, l’Eléphant est le symbole du pays. Il figure sur toutes les armoiries. Mais force est de reconnaitre que la population estimée de ces pachydermes est passée de 1660 individus en 1994 à environ 300 aujourd’hui! Je ne vais pas faire un cours là-dessus, je ne suis pas compétent pour ça , mais je peux vous certifier sans me tromper que la principale raison en est la déforestation. Les éléphants se sont donc repliés dans des zones difficiles d’accès et souvent marécageuses.
C’est le cas de la réserve d’AZAGNY , au-dessus de l’embouchure du fleuve Bandama, dans la région de Grand Lahou. C’est là où commence notre histoire. Un éléphant, se trouvant probablement à l’étroit dans cette réserve, a émigré dans une zone où la nourriture est plus abondante. Il s’est fixé dans la région de Guitri, un peu plus au nord dans des plantations industrielles de palmiers à huile, d’ hévéas, de bananeraies, de cacaoyers et des plantations villageoises de vivriers. Les populations ont adopté l’ éléphant qu’elles ont appelé AHMED. La cohabitation ne se passe trop mal malgré quelques dégâts aux plantations de manioc, ignames, bananes saccagées pour se nourrir et, plus grave, pour boire les calebasses de vin de palme (Koutoukou ou bangui). Breuvage que les villageois élaborent en récupérant et faisant fermenter la sève de palmiers . Bien sûr il arrive que l’éléphant soit complètement saoul et s’effondre!!!