« Je vous envoie un document établi à Rio Salado pour ma maman, Rose Sala, épouse Saragoza (décédée en 2010).
Je ne sais s’il vous intéresse pour l’afficher sur le site.
Merci
Lucienne Millet née Saragoza »
Les années passent, les souvenirs restent …
« Je vous envoie un document établi à Rio Salado pour ma maman, Rose Sala, épouse Saragoza (décédée en 2010).
Je ne sais s’il vous intéresse pour l’afficher sur le site.
Merci
Lucienne Millet née Saragoza »
Pâques, c’est aussi l’occasion de faire un riz (on n’appelait pas ça la paëlla). Rose-Marie CARDONA a retrouvé un sac.
» Chers amis,
Voilà la photo recto-verso du sac de riz que nous achetions à Rio avant l’indépendance.
Maman me demandait parfois d’aller faire les courses en disant :
– Va à l’épicerie ESCUDERO ou chez SAHEL, s’il n’y en pas. Tu me prends un kilo de riz et de l’huile sans goût (d’arachide car l’huile d’olive nous en avions de la récolte). »
R-M CARDONA
sur cette photo, il y a famille et amis. Pour ce Pâques, nous étions plus de 60…..
1 : mon oncle François ARTERO qui vit à Pézénas,
2 :à côté sa femme Rosette ARTERO,
3 : Raymond MARTINEZ, le frère de ma mère (il était interprète dans l’armée à Sidi Bel Abbes) décédé en 2000,
4 : ma mère Isabelle ARTERO (penchée) aujourd’hui décédée,
10 : accrochée à elle, ma petite soeur, Josette, décédée aussi (à 47 ans),
5 : debout Isabelle MARTINEZ,
6 : et à côté, mes 2 tantes décédées. La plus ronde était de Hammam Bouadjar, elle est décédée le 03/11/2010.
7 : A côté, Mme ROPERO
8 : et en 1er plan, Mr ROPERO. Il était le père de la boulangère GONZALEZ sur le boulevard national. C’était le gardien de la ferme Bour pendant « les évènements ».
14 : Moi, je suis à côté de Mr ROPERO,
13 : à côté ma cousine Isabelle.
9 : La dame accroupie est Mme AVARGUES de Rio, avec ses 2 filles, son mari était plombier.
Pour mon histoire familiale : ma grand-mère paternelle se prénommait ISABELLE. Mon père et son jeune frère Albert ont épouser des ISABELLE.
Les deux frères de ma mère ont épousé des ISABELLE aussi.
Et ma cousine Isabelle …..
Sur cette photo, 4 Isabelle, étonnant non? Mais elles ne sont pas toutes là.
Continuer la lecture de « Lundi de Pâques : repas en famille. »
Il y a quelque temps, lors de la mise en ligne d’une très belle photo du port d’Oran depuis la chapelle de Santa-Cruz, j’ai avancé qu’il n’était pas possible que cette photo n’éveille pas de souvenirs.
La réponse n’a pas tardé.
Et qu’elle réponse ! puisqu’il s’agit d’un saladéen, Amaury CHOURAC-QUILOUL, qui fut employé dans la zone portuaire et qui , devant cette photo a certainement eu une poussée d’adrénaline mélangée à de lointains et chauds souvenirs.
Voici la photo indexée et plus bas son commentaire.
1) La criée
2) Les baraques à casse croûte avec du poisson frais…et une « BAO »
3) Marins pompiers
4) Capitainerie
5) Quai d’Alger
6) Bureau d’embauches des dockers(la foire d’empoigne tous les matins)
7) Quai du Sénégal..(Où j’avais mon bureau…juste pour te dire que je n’étais pas docker)
8) Le chai
9) Chambre de commerce du port dirigée par un homme hors du commun qui n’hésitait pas à troquer son costume pour une salopette et dépanner une grue
il s’appelait Edouard Bendaoud.
10 Gare maritime de 2 compagnies
– la Compagnie Générale Transatlantique (CGT)
– la Compagnie de Navigation Mixte (CNM)
Je me rappelle d’un clochard qui avait élu domicile sur ce quai . On l’appelait « chabat » parcequ’il était originaire de Laferrière à 6 km de Rio.
Tout le monde l’aimait bien. On lui payait à boire et à manger et surtout on lui avait interdit de s’approcher du bord du quai. Tout le monde avait peur qu’il tombe à l’eau.
11) Quai Schiaffino où accostaient les cargos bananiers. Le jour de leur arrivée, c’était la course à la resquille du régime de bananes.
12)Quai LeBorgne
13) Dépôt de carburant…
14) La centrale électrique
15) Le quartier Gambetta
Nb : J’ai peut être commis des erreurs. J’espère que nos amis voudront bien les signaler.
Çà me revient : il y avait un employé de la chambre de commerce qui avait
une estafette Renault et qui était chargé d’alimenter les cargos en eau potable. Ce monsieur ne ratait jamais l’occasion de s’asseoir sur une bitte
d’amarrage…il disait que cela le soulageait car il souffrait des… hémorroïdes….
Bonne réception.
Amaury CHOURAC-QUILOUL
C’est encore une demande sans cesse renouvelée : les annuaires téléphoniques.
Chacun veut y voir son nom, le nom d’un proche, simplement parcourir une liste de noms qui « chantent ».
Dans notre environnement informatisé rythmé par le portable « qui fait tout » , on ne peut que sourire devant ce modeste annuaire.
1962…Donc 46 ans ! On peut mesurer les progrès de la science …téléphonique.
Jadette, notre archiviste préférée, nous confie une partie de son immense trésor :
Vous aurez remarqué l’absence des annuaires de Turgot et d’Er Rahel. Il ne tient qu’à vous de les communiquer.
Francis QUILES, notre vice-président, a glané, au cours de ses visites sur internet des images d’un défilé dans son beau village d’Er Rahel.
Peut-être pourrez-vous dater cet événement et surtout mettre des noms sur ces visages ?
D’avance merci.
Samedi 16 janvier 2013 : Dominique GIRARD née CANO nous écrit :
« Bonjour,
Je me permets de vous envoyer un message car en regardant dans vos archives « Un défilé dans la bonne ville d’Er Rahel » par Francis Quilès, j’ai vu une photo qui m’a interpellée. Je vous la joins avec 2 noms : je crois avoir reconnu mon père Paul CANO et son oncle, le maire de l’époque Gabriel DESCAT. Ma soeur pense qu’il s’agit du défilé pour l’Armistice. Quant à la date, mon père paraissant « la trentaine » (né en 1911) et Gabriel Descat étant décédé en 1952 (année de ma naissance), je la situe entre 1945 et 1950 mais sans certitude.
Cordialement. »
Continuer la lecture de « Un défilé dans la bonne ville d’Er Rahel. »
Jean-Marc GELY a parcouru, avec ses amis, les rues d’Er Rahel en avril 2005. Voici son reportage photos.
(Les commentaires sont du ouedmaster).
Notons que ER RAHEL se prononçait également HASSI EL GHELLA… de notre temps.
La place du monument que tous les automobilistes reconnaîtront au passage…
Et bien sûr la grande nationale toujours aussi fréquentée
L’endroit des rencontres : le marché.
Remarque du photographe : les cigognes ont, elles aussi, abandonné le dôme de l’église pour le minaret : signe des temps.
Peut-on ignorer le côté nostalgique de cette carte postale d’époque ?
Comment évoquer Er Rahel sans citer Sassel, sa belle petite plage familiale? Sable chaud, soleil ardent, mer…
Francis QUILLES, vice-président de notre amicale, a fouillé dans ses archives.
Voici le résultats de ses recherches.
Encore un bond dans le passé…