Jukebox de l’été: la grâce…

Et pourquoi pas?

Oui, pourquoi ne pas mettre de la grâce dans notre Jukebox. La grâce de Marianela Núñez dans ce Don Quichotte du Royal Ballet* .

  • The Royal Ballet est une compagnie de ballet britannique. Ses infrastructures se trouvent au Royal Opera House à Covent Garden, dans la ville de Londres en Angleterre. Fondée en 1931 par Ninette de Valois, The Royal Ballet est la plus grande des quatre compagnies de ballet internationales du Royaume-Uni. (source Wikipédia)

Jukebox d’été: c’est la vie!

« You Never Can Tell » Chuck Berry (1964).

Manifestement cette chanson est devenue un tube dès sa sortie. On parle de mariage et … d’autres choses. On entend des mots franglais qui nous font dresser l’oreille. Mais la mélodie reste dans les oreilles pendant longtemps.

Voici donc la version de l’auteur-compositeur (en prison à l’époque de sa création) en 1972. Chuck était déjà l’immense vedette du rock.

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Parmi ses autres interprètes, deux sont à retenir en autres.

Celle de Bruce Springsteen le 7 juillet 2013 à Leipzig:

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Et enfin, un version cinéma qui a fait aussi le bug comme disent nos jeunes.

Tirée du film « Pulp Fiction » de Quentin TARANTINO (1994).

Les danseurs (et acteurs principaux) : Uma THURMAN et John TRAVOLTA.

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Jukebox d’été. 21 juin 2021: Y’a d’la joie!!!

Oufff!Enfin!

L’été est là et notre tendance naturelle, bercée d’insouciance, nous oblige à jeter bas nos masques, souffler sur tous les vilains nuages et courir au soleil vers notre Marée Nostrum si chère à nos cœurs.

Hommage du Sétois Georges Brassens au Narbonnais Charles Trenet .

N’hésitez pas à proposer votre vidéo en chanson.

Par exemple:

Souvenir de ce grand acteur que fut Anthony QUINN lors du film « ZORBA le grec »

La radio a 100 ans : récepteurs.

Pour le commun des mortels, la radio est une source comme une autre d’information: actualités, musiques, documentaires, reportages, retransmissions sportives… Gallica de la BNF nous rappelle qu’il y avait également des inventeurs de tous ordres capables de fabriquer un récepteur. Le commentaire de René CARDONA nous le dit: à Rio, il y avait des « bidouilleurs« , comme ils étaient signalés à l’époque. Certainement informés des nouvelles techniques de fabrication. Capables de passer de la parole à l’acte en construisant LEUR radio. Poste à galène ou autre.

« Radio AM à diode germanium 530 kHz à 1600 kHz PO petite ondes avec l’écouteur et le fil d’antenne ici de couleur rouge » . Doc. tiré du net.
Fichier poste à galène ou poste cristal ou poste à pyrite. (Doc. tiré du net.

Bien sur, une revue leur était destinée.

Gallica BnF.

En 1921, la radio, jusqu’alors utilisée comme moyen de communication, devient un média grand public. « Radio Tour Eiffel » émet sa première émission. Bientôt de nombreuses publications voient le jour à destination des amateurs qui souhaitent fabriquer leur propre poste de T.S.F. La revue « La Radio » qui paraît entre 1926 et 1928 propose ainsi des articles détaillés sur les composants du poste, une encyclopédie des termes techniques et des éléments de montage.

1er juin 2021: La radio a 100 ans!

image tiré du net.

Il est vrai: personne ne peut ignorer ce média. Il fait partie intégrante de notre vie. Hormis les progrès techniques (voir dans le lien ci-dessous une ligne chronologique très intéressante), il semble qu’il est difficile d’ignorer combien cet « engin » a accompagné et continue d’accompagner notre quotidien. Tout à coup, nous essayons de remonter le temps pour pointer les moments importants gravés dans nos esprits par le « poste ». Peut-être pourrions-nous évoquer ces souvenirs dans des articles qui se répondraient les uns aux autres? L’ouedmaster se charge de les mettre, non pas en onde, mais en ligne à votre nom. Il suffit d’envoyer votre souvenir par mail à l’adresse suivante : jorio34@gmail. Évoquez donc votre « trait de mémoire » .

Pour ma part (on n’est jamais mieux servi que par soi-même, dit-on) voici un de mes tout premiers souvenirs liés à la radio:

« Tout petit, j’étais émerveillé par cet engin muni en son centre d’ un mystérieux œil rouge qui passait au bleu au moment où le son se faisait entendre. Grésillant, à peine audible, sortant d’un rectangle de tissu grossier. Je ne peux pas oublier son nom: BLAUPUNKT » .

Vous aussi, racontez un « souvenir de radio » .

https://graphics.rfi.fr/chronologie-un-siecle-de-radio/

Pâques: en parlant de cloche.

Est-ce l’humeur du temps et …sa semaine sainte qui me rappellent ce souvenir extirpé des « années métropolitaines débutantes »?

Dans les années 1960-70, nous sommes installés à Rillieux la Pape (contraction des deux noms de villes: Rillieux et Crépieux la Pape) dans le Rhône. Au cours d’une de nos promenades dans cette ZUP récente, nous passons devant une église moderne comme seules ces années ont pu en ériger dans ces « quartiers champignons ».

Ce n’est pas sa modernité qui nous a poussés à nous rapprocher mais une cloche devant l’entrée, a droite, plus exactement. Curieux, nous nous sommes approchés. Et voilà ce que nous avons vu!!!

(Archive du site de l’amicale du Rio Salado)

Nous n’avons pas suivi l’ « actualité » de cette cloche et sa bien curieuse vie. A en croire l’inscription sur la photo ci-dessus, elle a été transportée, transférée, reléguée (*) au cimetière de cette ville. On peut être sûr qu’elle n’a plus jamais été autant visitée par nos compatriotes depuis lors.

En échange, on peut suivre l’actualité bien perturbée de cette église.

https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2020/10/03/voitures-brulees-et-pompiers-caillassees-a-rillieux-la-pape

Autre temps autres mœurs, dirons-nous.

(*) garder le verbe précis.

Voyage… Voyage…

Il nous tarde de prendre l’envol, de voyager vers d’autres contrées, vers d’autres émerveillements. Se sentir bien à l’étranger. Revivre un coin, ailleurs. Sentir une chaleur, une bise, un air marin loin de notre chez-soi. Cet ailleurs qui revient si souvent dans nos pensées. Le besoin de se dépayser, de voir l’autre vivre, d’admirer un paysage à couper le souffle, de se sentir à la fois transporté et …submergé par le beau, le simple.

Oui, c’est tout cela que nous ressentons au cœur de cette pandémie qui nous prive d’aller voir ailleurs.

Le remède pour l’instant? Peut-être grâce à l’image, se transporter dans ces lieux propices aux rêves.

Alors, rêvons!!!!