Jukebox d’été: où se trouvait le Jukebox à Rio?

Bonjour Jo.
Merci pour ce Jukebox d’été! Un bon et sympathique souvenir!!!
Pour le compléter, donnons la parole aux amis pour qu’ils nous rappellent où se trouvaient les Jukebox à Rio
Je vous laisse, à Jadette et à toi , le soin de fixer la récompense au(x) gagnants (es).
Et puisque c’est d’actualité: Pas d’abstention! Votez en masse! La démocratie est en jeu!
Amitiés.
René.

Commentaire de Jo PLAZA:

Salut, Ô ami africain.
Si je comprends ton message, il faut attribuer un prix aux gagnants(es) du concours:
« Où étaient situés les Jukebox à Rio? ».
Pour ma part, j’ai dans mes réserves un tombereau de chewing-gums Globbo.
Voici donc le tableau des prix:
« Tous les Jukebox trouvés »: 1 bidon (entier) de chewing-gums.
« Tous les Jukebox trouvés-1 » : 1 bidon de chewing-gums-1 chewing-gum.
« Tous les Jukebox trouvés-2 » : 1 bidon de chewing-gums-2 chewing-gums.
Et ainsi de suite …
J’avoue que j’attends avec une certaine impatience ce que Jadette va offrir en fonction de l’étendue de ses archives. Que va-t-elle puiser?
Peut-être:
-la carriole de Mingo,
– un banc du jardin public,
– une photo de la voiture de M. CLAVERIE,
… j’en passe et des meilleurs.

Commentaire de Denise Lignon-Martinez:

Merci Jo pour Juke-box 2.
Je pense que les juke-box étaient dans le bar de M. Bernabeu et au magasin qui se trouvait en face sur la place !!!
« Zorba le grec » : très beau film et belle danse reprise ensuite. Notre jeunesse !!!

Commentaire de Michèle CHORRO

Bonjour René.
Pour moi, il y avait un jukebox au magasin chez Simone situé près du bar Davos.
Il était à l’entrée sur la gauche. Nous allions écouter Paul Anka (« Diana« ) , Elvis Presley (It’s now or never), etc…
Je pense qu’au bar Bernabeu, situé de l’autre coté de la place, il y en avait un également. Je me souviens mieux de celui du magasin SIMONE tenu par Simone BERNABEU .
Amitiés.
Michelle.

Commentaire de Jadette SALVA

René, Joseph a raison: j’ai dans mes archives des preuves irréfutables. Michelle, tu as bonne mémoire: le JUKE BOXE, « BEL AMI » se trouvait bien dans la boutique de vente de Simone BERNABEU. Cette boutique, comme le dit Michelle, était en face de la place du village, après le café DAVOS,entre la porte d’entrée de la maison de M.Henri KRAUS et la boucherie de M. BOUAZIZ. Simone nous proposait des bibelots, des disques de l’horlogerie. Dès le début de l’été, la boutique était aménagée en « CRÈMERIE »( pas en GLACIER, ce mot n’existait pas chez nous). Après la messe du dimanche, et la virée chez PILAR pour y déguster ses fabuleuses meringues, nous allions écouter ce fameux Juke Boxe où Paul ANKA nous susurrait ses plus tendres mélodies.

Commentaire de Simone BERNABEU-ROL.

C’est de Peniscola où nous passons nos vacances que je viens ajouter quelques commentaires concernant le Juke Box
Installé à l’origine dans notre magasin d’articles souvenirs et également Crèmerie durant l’été, près du bar Davos, il attirait de nombreux Saladéens , et aussi les militaires durant la guerre d’Algérie, dont certains notamment les méridionaux n’hésitaient pas à esquisser quelques pas de Charleston sur notre terrasse, après avoir glissé une pièce dans le monnayeur. Il fut transféré ensuite dans le Penalty-Bar tenu conjointement par ma famille. Chaque jour, peu avant midi Mr Estève dit Mingo se dirigeait vers l’église pour sonner l’Angélus, et arrivé à hauteur du bar sur la place du village, il marquait rituellement une pause pour écouter une chanson Espagnole: El Inclusero de Juanito Valderama que je déclenchais à son intention.

Il y en avait pour tous les goûts et tous les âges: Dalida , Gloria Lasso, les Platters, Bill Halley etc… A L’occasion de ùon mariage avec Alexis Rol, et à l’initiative de mon père, le Juke Box anima musicalement le lunch servi par Abdellah Gourinet, dans la cave vinicole de Mr Escudero Bonaventure , récemment inaugurée. Quelques jours plus tard, après la fête des vendanges fin septembre, je rejoignais avec mon mari, la grande Kabylie, son lieu d’affectation dans la Police. Jadette, je te remercie de me permettre d’évoquer cette période de notre jeunesse Saladéenne, heureuse et affective. Merci également à Joseph Plaza pour son implication dans l’édition de notre journal local.

Check up santé pour René.

Dans les Rues du quartier Adjoufou, route de Grand Bassam.

Lundi dernier, je devais aller chez le dentiste.

En arrivant devant la pancarte de son Cabinet, j’ai hésité et j’ai continué chez le médecin un peu plus loin.(photo)

Là encore en consultant  sur sa pancarte ses spécialités, je me suis senti  mieux  et, sans consulter, j’ai continué . Pourquoi pas, tant qu’à faire, une petite séance de remise en forme chez l’Ostéopathe?

Je m’aperçois qu’il ne prend pas ‘’la carte vitale’’. Découragé je vais  chez Jean, mon fidèle coiffeur.

Sa pub est exacte. Je suis sorti joli et avec meilleur moral. Comme à Rio !!!

Seuls manquaient les « gestes barrières » et surtout l’ambiance de chez nous.

Et inconsciemment, j’ai associé cette enseigne à celle du village.
Le salon mythique Mr et Mme JEAN (JUAN ?), coiffeur pour DAMES, en face du bar GATTI. Puis, j’ai essayé de me remémorer quels étaient les coiffeurs à Rio .
J’avoue que j’ai oublié. Je compte sur vous pour compléter mes souvenirs évaporés ( presque 60 ans que nous ….)
Je me souviens:
– des coiffeurs qui venaient à domicile à bicyclette: RAMONICO et FRANÇOILICO.
– des coiffeurs pour hommes installés sur le Boulevard: Mrs Marius FAURE (tel 2.04) Alfred SEMPERE (que j’ai continué a voir à Montpellier et dont Annie sa fille est une fidèle de l’amicale). Il avait succédé à Mr ??? .Peut-être RUIZ ??
La discussion est ouverte.
Merci
Bien amicalement
René Cardona
07 Février 2021
Abidjan

Dernier vœu avant fermeture.

Un des vœux récurrents de nos ami(e)s est  exaucé !

En effet, je viens de lire  qu’en Chine le test Covid n’est plus nasal mais anal  obligatoire.

J-Paul Quilès et d’autres nous on ont souhaité « Bonne année, Bonne santé, la Paille au C…pour toute l’année !! ».

La Chine a « inventé » la Covid, l’a exportée ainsi que le test nasal … Qu’en sera-t-il du test anal ?

Serait-ce les vœux qui se réalisent, en attendant un vaccin fiable.

C’était mon grain de sel.

Amitiés.

René CARDONA depuis Abidjan.

Et pour faire écho à ce qui a été dit ci-dessus…

Extrait de La Provence du mercredi 03/02/2021 à 14h21 –

Voeux 2021 depuis Abidjan.

Calme et sérénité pour terminer l’année et attaquer 2021.

Coucher de soleil le 24 décembre (Archive personnelle R. Cardona).

C’est  une année difficile qui se termine. Nous abordons 2021 dans l’incertitude  des crises sanitaires,  économiques et sociales qui perdurent. Gardons espoir pour retrouver rapidement le calme et la sérénité .

Meilleurs vœux depuis Abidjan à toute l’ Amicale

René & Denise

L’éléphant Ahmed de Côte d’Ivoire.

Bonjour.

Cette fois ci, ce n’est pas au Village que je vous emmène mais dans mon pays « d’adoption ».

Je vais vous relater une histoire qui a alimenté voici quelques semaines (mois ?) l’actualité quotidienne en Côte d’Ivoire (heureusement, il n’y a pas que la Covid ou les élections).

Comme vous le savez, l’Eléphant est le symbole du pays. Il figure sur toutes les armoiries. Mais force est de reconnaitre que la population estimée de ces pachydermes est passée de 1660 individus en 1994 à environ 300 aujourd’hui! Je ne vais pas faire un cours là-dessus, je ne suis pas compétent pour ça , mais je peux vous certifier sans me tromper que la principale raison en est la déforestation. Les éléphants se sont donc repliés dans des zones difficiles d’accès et souvent marécageuses.
C’est le cas de la réserve d’AZAGNY , au-dessus de l’embouchure du fleuve Bandama, dans la région de Grand Lahou. C’est là où commence notre histoire. Un éléphant, se trouvant probablement à l’étroit dans cette réserve, a émigré dans une zone où la nourriture est plus abondante. Il s’est fixé dans la région  de Guitri, un peu plus au nord dans des plantations industrielles de palmiers à huile, d’ hévéas, de bananeraies, de cacaoyers et des plantations villageoises de vivriers. Les populations ont adopté l’ éléphant qu’elles ont appelé AHMED. La cohabitation ne se passe trop mal malgré  quelques dégâts aux plantations de manioc, ignames, bananes  saccagées pour se nourrir et, plus grave, pour boire les calebasses de vin de palme (Koutoukou ou bangui). Breuvage que les villageois élaborent en récupérant et faisant fermenter la sève de palmiers . Bien sûr il arrive que l’éléphant soit complètement saoul et s’effondre!!!

Continuer la lecture de « L’éléphant Ahmed de Côte d’Ivoire. »

Qui s’en souvient?

Nous venons d’entamer le mois de Décembre et les médias nous reparlent,
comme tous les ans, du CALENDRIER de l’ AVENT.
Moi, j’étais bien jeune à Rio, (il y a bien longtemps) et, si je ne souviens pas de  »L’AVENT » par contre, je me souviens qu’au début décembre, on fêtait Saint Éloi, patron des forgerons, maréchaux-ferrants, mécaniciens et autres métiers mécaniques.

Ce matin-là il y avait chez tous les professionnels , offert aux clients , amis (en fait, à tous), un casse-croûte comme on savait les faire à Rio.
Quelle ambiance conviviale, amicale, joyeuse et moqueuse avec des plaisanteries dans un idiome bien de chez nous !!!
Pour ne  »vexer » personne, on passait allégrement de chez Firpo, chez Mourcet, chez Pep, chez Jurado et tous les autres qu’il me serait difficile d’énumérer aujourd’hui.
Au menu : c’était sardines, petits rougets, longanisse, grillés. et charcuterie . Tout ce que nous aimions.  Je ne parle pas du vin qu’on pouvait boire soit dans un verre (pas en plastique) soit (j’ai oublié le nom) à la régalade, à la bouteille avec un roseau taillé en biseau (écolos avant l’heure).

Je pense qu’à midi, au déjeuner, peu de participants devaient faire honneur au repas familial.

Aujourd’hui je ne retrouve pas sur le calendrier St Éloi en décembre . Il a peut être été…confiné ! Ou il est tout simplement resté à RIO qui savait tellement le fêter.

René CARDONA
Abidjan
05 Décembre 2020

Illustration de Jadette Salva, notre archiviste omniprésente.

1911-La forge de Grégoire VALERO. Les familles de forgerons. Au premier plan, l’enclume. (Archive de l’amicale du Rio Salado).
1931- la forge de M. FIRPO-Antoine et Tanou FIRPOBernabé SANCHEZGrégoire VALERO. (archive de l’amicale du Rio Salado)
Atelier CARREGA- M. CARREGA au centre- M. MAESO casque colonial- Tio Pépé tablier (archive de l’amicale du Rio Salado)
La forge d’ Albert MOURCETAlbert RIZOAbdellah GOURINETAlbert MOURCET (archive de l’amicale du Rio Salado)
Atelier M.MALLEBRERA (archive de l’amicale du Rio Salado)
1914- ouvriers ferblantiers du côté de la gare. (archive de l’amicale du Rio Salado)
(Archive de l’amicale du Rio Salado).
(Archive de l’amicale du Rio Salado).
Atelier Francis PEREZ (Archive de l’amicale du Rio Salado).



Abidjan: les bienfaits du confinement.

Nous sommes en pleine saison des mangues.
Hélas! l’export est compliqué, les avions-cargos rares et les rotations
bateaux incertaines. Aussi les planteurs souffrent. L’un d’entre eux, un ami de Ferké*, m’en a fait parvenir 2 cartons export-avion.

A défaut de pouvoir les partager avec vous, je vous les envoie en photos.
Croyez-moi: elles sont excellentes, mûres à point!
René.

N.B.:

Je ne voudrais pas que nos concitoyens pense que c’est la « buena vida ».
Nous aussi nous rêvons de fruits exotiques: « fraises, cerises, abricots,
pêches… ». Ici, on n’a que du local : « ananas, bananes, mangues,
papayes… »
.

*Ferkessédougou (communément appelée Ferké) est, du point de vue de son importance démographique1, l’une des plus grandes villes du nord de la Côte d’Ivoire. (source Wikipédia)

Élagage d’un palmier à Marcory (Côte d’Ivoire).

Chers Amis

J’ai envoyé à notre Oued Master, à titre personnel,  connaissant sa curiosité, cette vidéo qui montre l’agilité de l’élagueur qui vient entretenir cocotiers et palmiers du jardin . (Joseph estime que ça peut être publié. Je lui en laisse l’initiative).

L’élagueur vient 2 fois par an en octobre pour couper les palmes et les fruits après la saison des pluies. Et ces jours-ci, en mars,  avant la même saison, simplement pour retirer les fruits ( noix de coco et régime de palmistes).

Sur la vidéo, il s’agit d’un palmier à huile. A la fin, on voit des tiges du régime et ensuite le régime tomber.

Les Ivoiriens utilisent les noix de palme pour faire un plat qu’ils apprécient :  » La Sauce-Graine avec soit de l’agouti* soit du pangolin! », à défaut du poule. C’est très gras. L’huile rouge surnage. Pour ma part,   je préfère les migas!!!

Les palmiers font environ 25 à 30 m. Ils ont été plantés en 1981, lors de la construction de la villa par l’ancien propriétaire (donc 39 ans).

L’élagueur s’appelle Faya c’est un Guinéen  d’ethnie  Kpése de NZEREKORE.**

J’avoue que j’ai peur quand je le vois grimper avec seulement la liane autour des reins et la machette entre les dents.

Je vous laisse découvrir.

Amicalement

René Cardona

Abidjan

*:L’agouti est un rongeur, de la famille des caviens, dont on connaît trois espèces : l’agouti simple, l’agouchi et l’agouti huppé. Les agoutis sont de jolis animaux, de la taille et presque de la forme de nos lapins .

**: Nzérékoré, aussi appelée N’Zérékoré, est la plus grande ville de la Guinée forestière, région du sud-est de la Guinée, et la troisième ville du pays. La ville est aussi le chef-lieu de la préfecture de Nzérékoré et la capitale de la Région de N’Zérékoré. Cette région comprend, outre la préfecture de N’Zérékoré, les préfectures de Macenta, Guéckédou, Beyla, Lola et Yomou.

La solution oranaise pour éradiquer ce virus…

Chers amis

Je  ne sais pas si cette contribution aura le droit de citer sur notre site, mais à titre amical voici ce que tout cela m’inspire.

Dans le monde et bien entendu en France, on parle beaucoup et de plus en plus de cette épidémie ( ?) pandémie ( ?) du virus CORONA. (Si par malheur, il atteignait la Côte d’Ivoire et pays limitrophes, ce serait une catastrophe).


Les Etats se préparent, prennent des précautions,  cherchent des solutions plus ou moins réalistes.

Que diriez-vous, vous qui êtes proches du pouvoir de suggérer que « nouzôtres pôvres » Oranais avons la solution, bien sûr par expérience.

Aucun de nos compatriotes  n’a oublié la terrible  épidémie de choléra qu’a connue ORAN en 1849 . (voir le lien en fin d’article)

La tradition orale nous a toujours enseigné  que, devant l’hécatombe de morts, un général (PELISSIER) dit (ordonna) à l’abbé (SUCHET) en désignant la montagne du MURJADJO

« Foutez donc une vierge là-haut et elle se chargera de jeter le choléra à la mer ».

La même tradition dit que le dimanche 04 novembre 1849, une impressionnante procession partie de l’église St Louis alla porter une statue de la vierge sur la montagne et …..ce fut le miracle.

Qu’attendez-vous pour interpeller les autorités politiques , religieuses et surtout militaires pour faire de même. Il ne manque pas en France de montagnes pour çà .

Je pense au Mont Ventoux pas très loin de Courbessac. On pourrait transférer « notre » sanctuaire rapatrié lui aussi.

Hastà pronto,  si Dios quière’ y también el CORONA VIRUS.

Abrazos

René

P.S Pour ne rien vous cacher je vous confirme que j’ai demandé à un sage du marabout de Sidi Kacem (il s’appelle Ould Google, je crois) de m’aider un peu.

Qui pourrait me dire…?

Je me souviens, à RIO……

A la fin de notre enfance, juste avant l’adolescence, nos loisirs étaient simples et sains. Nous avons appris beaucoup de choses à la formidable Ecole  de la vie.
Nous n’avions ni smartphone, ni tablette, … Nous ne connaissions ni Facebook ni twitter.

Par contre, nous savions placer des pièges, attacher des hameçons, préparer de la glue, fabriquer une bilocha, faire du bromèche, trouver des ‘’fourmidèles’’ après les premières pluies d’automne, faire des oursins, tirer le boliché… On commençait même à essayer entre amis la recette des gaspachos et de la paëlla

Pour paraphraser un ainé célèbre: « Nous étions malheureux mais nous ne le savions pas. Alors comme des c…, on vivait heureux »

 J’en arrive à ma question :

C’est à l’occasion de recherches des ‘’fourmidèles’’ le long de la voie ferrée vers la maisonnette ou dans les terrains caillouteux, que j’ai découvert, au milieu de feuilles et de petites plantes hautes de 4 à 5 cm, une ‘’fleur ?’’ épaisse qui ressemblait à une capuche blanche avec des bandes violettes. Au village, on l’appelait : « ABUELITA » .

QUI POURRAIT ME DIRE, si certains d’entre vous s’en souviennent, le nom de cette plante. Et, « jujube sur la mouna », le nom scientifique et pourquoi pas une photo?

Vous me savez nostalgique de notre RIO. C’est pourquoi, quand il m’arrive d’aller en brousse (hélas de moins en moins), je cherche des similitudes (rares).

Jeudi dernier, j’étais chez un ami forestier et planteur à Yakassé-Me, en pays ATTIE.
Je n’ai pas trouvé un nid de fourmidèles mais j’ai trouvé…

une termitière que j’ai photographiée je vous la dédie

Avec toutes mes amitiés.

René Cardona

Abidjan