Jadette et Jayme SALVA ainsi que Chantal et Jean-Louis LOZANO racontent en images leurs voyage.
Suivons-les dans leur périple yankee.
Continuer la lecture de « Visite aux USA de quatre saladéens dans le vent. »
Les années passent, les souvenirs restent …
Jadette et Jayme SALVA ainsi que Chantal et Jean-Louis LOZANO racontent en images leurs voyage.
Suivons-les dans leur périple yankee.
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Dans nos petits villages, les distances étaient ramenées à l’échelle humaine, voire … villageoise. En effet, si les petits parcours restaient précis dans nos esprits, dès qu’une plus longue distance était envisagée le flou était de rigueur.
Il est 11h, on vient de sortir de la messe et on va au « stade du Basket ». La J.S.S reçoit la J.P.B.S (Beni Saf) bien sur le match est « chaud » et « ON » gagne. Soudani, le benisafien, n’a pas réussi. Roger Gimenez a marqué à lui seul 60 points. Palomo, Fuentés, Perlès de Témouchent (celui qui avait les doigts coupés) et Rabattel d’Ain el Arba étaient là, bien sûr.
Jadette, notre archiviste, toujours dans l’actualité, nous écrit :
« Puisque nous sommes dans l’Euro, pourquoi ne pas parler de nos équipes sportives?
Ci-dessous un texte de Ghislaine PARRES-CUENCA.
Vous pouvez commenter, bien sûr.
Le Sport Olympique Saladéen en tenue.
Messaoud BENYOUCEF nous rappelle par cette photo que nous avions à Rio, une glorieuse équipe de foot bizarrement désignée : SOS.
Voici son message et le document qui l’accompagne.
Salut Jo.
Pour l’heure, je t’envoie, ci-joint, une prise de vue de la redoutable formation qui posait pour la postérité avant d’affronter le « Real Clandestino » (équipe de football formée par les réfugiés républicains espagnols d’Oran) au stade municipal de Rio. C’était en 1965.
(Vu la moyenne d’âge de l’équipe adverse, notre triomphe était aussi assuré que sans gloire.)
Bien à toi. M.B.)
Pensée de J.PLAZA, ouedmaster du site.
Qui n’a pas en souvenir le seul média (pour employer le vocabulaire actuel) qui berçait nos oreilles à l’époque : la radio ? Radio Andorre, Radio Monte Carlo, Radio Luxembourg. Toutes ces radios qui nous distillaient les nouvelles du monde, les airs à la mode, et bien d’autres choses encore.
Notre préférence allait, évidemment, à Radio Alger. La seule radio du pays… On a du mal à l’imaginer de nos jours. Continuer la lecture de « La TSF qui a bercé notre enfance. »
de notre envoyé spécial en Côte d’Ivoire, René CARDONA.
« Chers amis
Nous n’étions pas là, nous le regrettons. Mais pour perpétuer la tradition du village, nous avons mis nos amis dans l’ambiance.
Mais, si dios quiere, pour Pentecôte, nous serons là.
Merci de votre pensée bien amicale
Quelques photos.
A Bientôt
René & Denise »
Jean-Paul Amat nous écrit :
Ce conseil de révision, le dernier saladéen, a vu tous les natifs de 1943, environ 23 amis, convoqués au printemps 1962, dans les locaux militaires témouchentois où un médecin de santé et deux infirmiers devaient déterminer notre aptitude au bon service militaire national !!!!
Continuer la lecture de « Le dernier Conseil de révision à Rio . »
Le mot du président, Ernest REYNE :
Chers amis Er rahéliens, Saladéens, Turgotiens
Ce 15 mai 2016 consacrait les 35 ans de notre amicale. Personne, ou presque, n’ignorait que ce rassemblement de Pentecôte serait probablement le dernier, dans sa forme habituelle en tout cas. Nous avions choisi de clore dignement ce long parcours en vous offrant une dernière grande journée commune, non pas dans la dimension des vingtième, vingt cinquième ou trentième anniversaires, mais simplement une journée d’émotion, dans la magnifique salle de Villeneuve-les Beziers.
Louis PERES se rappelle :
RAPPORT DE LA MARECHAUSSEE :
« Dans la nuit, sous la montée des eaux, le flux a soulevé l’avant du bateau jusque sur la berge et l’a coincé, la proue en l’ air.
Quelques heures après, le bateau a glissé en arrière car le reflux a baissé le niveau de l’ eau.
Et au petit jour, le nouveau flux, avec la montée des eaux, a rempli la barque et l’a poussée sur la rive »
Qui dit mieux ? trois marées dans la nuit à Turgot !
Il nous livrait une tente si grande qu’elle aurait pu contenir tout un régiment. Elle était de toile épaisse, de couleur kaki, avec des auvents qui facilitaient la ventilation, bien nécessaires pour supporter la chaleur qui s’abattait sur la plage. Cette même chaleur qui nous poussait à déserter les villages afin de retrouver ce paradis terrestre où la vie se déroulait paisible et heureuse. La mer était transparente et si claire, que son eau était polie comme un miroir. Nos vêtements nous collaient à la peau, notre corps et notre esprit se vidaient de toute son énergie…Mais peu importe! Nous étions à la plage…et pouvions faire un plouf pour nous rafraîchir.
Certains préféraient se rafraîchir avec une bonne anisette…
L’un n’empêchait pas l’autre! »